Troubles Alimentaires et Fêtes : Traverser les Périodes Festives avec Sérénité
Introduction
Les lumières scintillent dans les rues, l'odeur des marrons chauds embaume l'air parisien, et partout résonne cette injonction implicite : "C'est la période la plus merveilleuse de l'année !" Pourtant, pour les personnes vivant avec un trouble du comportement alimentaire, ces mots sonnent parfois comme une sentence. Les fêtes de fin d'année, les vacances estivales, les réunions familiales — ces moments censés incarner la joie et la convivialité — deviennent des épreuves redoutées pendant des semaines.
Vous n'êtes pas seul·e dans cette appréhension. Selon les données de la Fédération Française Anorexie Boulimie (FFAB), près de 70% des personnes souffrant de TCA rapportent une intensification des symptômes pendant les périodes festives. Cette réalité, loin d'être anecdotique, mérite d'être nommée, comprise et accompagnée avec bienveillance. L'anxiété que vous ressentez face à ces périodes n'est pas une faiblesse — c'est le reflet d'un mécanisme de protection qui tente, maladroitement, de vous garder en sécurité.
Dans mon cabinet parisien, j'accompagne chaque année des dizaines de personnes à travers ces périodes délicates. Ce qui m'anime, c'est la conviction profonde que comprendre les mécanismes en jeu est déjà un premier pas vers l'apaisement. Ensemble, nous allons explorer pourquoi les fêtes sont si complexes quand on vit avec un TCA, et surtout, comment vous pouvez vous préparer et traverser ces moments avec plus de sérénité — sans culpabilité, sans pression, simplement avec bienveillance envers vous-même.
🎄 Pourquoi les Fêtes Deviennent des Tempêtes Quand On Vit avec un TCA
Le Paradoxe de l'Abondance dans un Monde de Contrôle
Pour quelqu'un qui a construit un sentiment de sécurité autour de la prévisibilité alimentaire, les fêtes représentent tout l'inverse : l'imprévisibilité totale. Les tables débordent de nourriture, les horaires deviennent flous, les repas s'étirent sur des heures. Cette abondance, symbole de générosité pour certains, devient une menace pour qui a appris à contrôler chaque bouchée.
L'anorexie, par exemple, se nourrit (si j'ose dire) de structure et de restriction. Les fêtes brisent cette structure. La boulimie, elle, trouve dans cette profusion un terrain propice aux crises, suivies de l'immense culpabilité que vous connaissez trop bien. L'hyperphagie boulimique, quant à elle, voit dans ces repas festifs une permission sociale de "lâcher prise" — sauf que ce lâcher-prise se transforme souvent en perte de contrôle anxiogène.
Les recherches de l'Inserm montrent que les périodes de rupture de routine augmentent de 40 à 60% le risque de rechute ou d'intensification des symptômes chez les personnes en rétablissement. Ce n'est pas un échec de votre part — c'est une réalité neurobiologique : votre cerveau, habitué à certains repères, réagit à leur absence comme à une menace.
La Pression Sociale : Quand l'Amour Se Fait Intrusif
"Allez, c'est les fêtes, fais-toi plaisir !"
"Tu ne vas pas manger que ça ?"
"Tu as maigri / grossi, non ?"
"Après les fêtes, on se met tous au régime !"
Ces phrases, vous les connaissez. Elles ne sont pas malveillantes — elles sont juste profondément déstabilisantes. Votre famille vous aime, vos amis tiennent à vous, mais ils ne comprennent pas toujours que ces commentaires, aussi anodins qu'ils leur paraissent, résonnent en vous comme des jugements.
La pression de "participer" au repas devient écrasante. Refuser un plat, c'est risquer d'être vu·e comme difficile, ingrat·e, ou pire — c'est dévoiler votre lutte intérieure que vous préféreriez garder invisible. Une étude britannique de 2024 a révélé que 83% des personnes souffrant de TCA ressentent une anxiété anticipatoire intense à l'idée de manger devant leurs proches pendant les fêtes.
La Rupture des Routines : Quand les Repères S'Effondrent
Vous avez peut-être mis des mois à construire une routine alimentaire qui vous permet de fonctionner. Des horaires fixes, des quantités mesurées, des aliments "sûrs" qui ne déclenchent pas trop d'anxiété. Cette routine, c'est votre bouée de sauvetage — et les fêtes la font disparaître.
Les vacances apportent leur lot de changements : on dort ailleurs, on mange à des heures décalées, on partage la cuisine avec d'autres personnes. Pour quelqu'un en rétablissement, cette perte de contrôle environnemental peut réactiver des mécanismes de compensation : restriction accrue, hyperactivité physique, isolement.
Les données de l'Alliance for Eating Disorders Awareness montrent que les ruptures de routine pendant les périodes festives sont citées comme déclencheur principal de rechute dans 58% des cas étudiés. Encore une fois, il ne s'agit pas d'un manque de volonté de votre part — c'est une réaction humaine face à la perte de repères.
L'Exposition Corporelle : Quand le Regard de l'Autre Pèse
L'été apporte ses propres défis : la plage, les maillots de bain, les vêtements légers. L'hiver aussi : les pulls qui moulent, les photos de famille où l'on vous "compare" à l'année dernière. Votre corps devient soudainement un objet de conversation, de commentaires, de jugements — réels ou perçus.
Pour quelqu'un qui vit avec une dysmorphophobie (cette distorsion de l'image corporelle si fréquente dans les TCA), cette exposition devient insupportable. Vous pouvez passer des heures à choisir une tenue qui "cache", à éviter les photos, à inventer des excuses pour ne pas participer à certaines activités.
Une enquête menée par StopTCA en 2025 révèle que 76% des personnes souffrant de TCA évitent activement les situations où leur corps pourrait être "exposé" pendant les périodes de vacances. Cette évitement, bien que protecteur à court terme, renforce l'isolement et la honte.
🧠 Comprendre les Mécanismes : Pourquoi Votre Corps et Votre Esprit Réagissent Ainsi
Le Cortisol et l'Anxiété Anticipatoire
Plusieurs semaines avant les fêtes, votre corps commence déjà à réagir. L'anxiété anticipatoire n'est pas "dans votre tête" — c'est une réponse physiologique mesurable. Votre taux de cortisol (l'hormone du stress) augmente, ce qui perturbe vos signaux de faim et de satiété, rend le sommeil plus difficile, et intensifie vos pensées obsessionnelles autour de la nourriture.
Le cortisol élevé explique pourquoi, même quand vous essayez de "vous détendre", votre corps reste en alerte. Cette hyper-vigilance épuise vos ressources mentales et physiques, vous laissant moins d'énergie pour faire face aux situations réelles quand elles arrivent.
Le Cercle Vicieux de la Restriction et de la Compensation
Beaucoup de personnes souffrant de TCA adoptent une stratégie qui semble logique : "Je vais restreindre avant / après les fêtes pour compenser." Malheureusement, cette stratégie biologique ne fonctionne pas — elle aggrave le problème.
Quand vous restreignez sévèrement avant un repas festif, votre corps arrive affamé biologiquement. Cette faim, combinée à l'abondance soudaine, crée les conditions parfaites pour une crise de boulimie ou une perte de contrôle. Puis vient la culpabilité, suivie de nouvelles restrictions ou compensations, qui perpétuent le cycle.
Les travaux du Dr Janet Treasure (King's College London) ont démontré que la restriction pré-festive augmente de 70% le risque de comportements compensatoires post-repas. Votre corps, privé de nutriments, réagit à l'abondance comme à une urgence de survie — pas comme à une "fête".
L'Isolement Social : Quand Éviter Devient la Solution
Face à toute cette anxiété, une tentation devient forte : éviter complètement. Refuser les invitations, inventer des excuses, se replier sur soi-même. Cette stratégie d'évitement procure un soulagement immédiat — vous n'avez pas à affronter les repas, les commentaires, le regard des autres.
Mais l'isolement nourrit aussi la honte et le sentiment d'être différent·e, "anormal·e". Il renforce l'idée que vous ne pouvez pas fonctionner dans des situations sociales normales, ce qui érode votre confiance et votre estime de vous.
🛠️ Stratégies Concrètes : Se Préparer et Traverser les Fêtes
Avant les Fêtes : La Préparation Est Votre Alliée
1. Anticiper sans ruminer
Il y a une différence entre préparer et obséder. Prenez un moment pour réfléchir aux défis spécifiques qui vous attendent : Qui sera là ? Quels seront les moments les plus difficiles ? Quelles sont vos ressources ?
Notez vos réponses. Cet exercice d'externalisation aide à clarifier ce qui est réel (anxiété légitime face à une situation difficile) et ce qui est amplifié par votre trouble (catastrophisation, lecture de pensées).
2. Communiquer avec vos proches (si possible)
Si vous vous sentez capable, parler à une ou deux personnes de confiance peut alléger énormément le poids. Vous n'avez pas à tout expliquer — juste à poser quelques balises simples :
"Les commentaires sur mon apparence / mon assiette me mettent mal à l'aise, merci de les éviter."
"J'ai besoin de prendre l'air régulièrement, ne vous inquiétez pas si je m'absente."
"Cette année, je gère mon alimentation différemment, j'apprécierais qu'on n'en fasse pas un sujet."
La plupart des gens, une fois informés, feront de leur mieux pour respecter vos besoins. Et si certains ne peuvent pas, au moins vous aurez posé vos limites clairement.
3. Maintenir votre suivi thérapeutique
Les fêtes ne sont pas le moment d'interrompre vos rendez-vous avec votre équipe soignante. Au contraire, c'est quand vous en avez le plus besoin. Planifiez une séance juste avant et juste après les périodes critiques. Ces points d'ancrage vous rappelleront que vous n'êtes pas seul·e et que votre rétablissement continue, même pendant les turbulences.
Pendant les Fêtes : Des Outils Pour Naviguer
1. La technique du "point d'ancrage"
Identifiez une personne sûre — un·e ami·e, un membre de la famille compréhensif — qui sera votre "point d'ancrage" pendant les repas. Convenez d'un signal discret (toucher votre bracelet, croiser le regard) pour indiquer que vous avez besoin d'aide : changer de sujet, quitter la table, prendre l'air ensemble.
2. Les pauses stratégiques
Vous n'avez pas à rester à table tout le temps. Proposez de débarrasser, d'aller chercher quelque chose à la cuisine, de promener le chien, d'appeler quelqu'un. Ces micro-pauses vous donnent l'espace de respirer, de réguler vos émotions, de vous reconnecter à vous-même.
3. Le "plan B" alimentaire
Discutez avec l'hôte·sse avant le repas. Pouvez-vous apporter un plat que vous savez pouvoir manger ? Pouvez-vous connaître le menu à l'avance pour anticiper ? Avoir même un petit contrôle sur votre environnement alimentaire peut réduire considérablement l'anxiété.
4. Les phrases toutes faites pour dévier
Quand quelqu'un fait un commentaire déplacé, avoir des réponses prêtes aide :
"J'aimerais qu'on parle d'autre chose que de nourriture aujourd'hui."
"Merci de t'inquiéter, mais je suis suivi·e par des professionnels."
"Haha, changeons de sujet ! Tu as vu le dernier film de…?"
Ces phrases créent une frontière ferme mais bienveillante.
5. L'auto-compassion en temps réel
Si vous faites une crise, si vous restreignez plus que prévu, si vous vous isolez — rappelez-vous que vous faites de votre mieux dans une situation extraordinairement difficile. La perfection n'existe pas. La guérison n'est pas linéaire. Chaque instant où vous choisissez de rester présent·e, même dans l'inconfort, est une victoire.
Après les Fêtes : Réparer Sans Punir
1. Résister à l'envie de "compenser"
Le 1er janvier arrive avec son cortège de "résolutions", de régimes, de "détox". Pour vous, ces messages sont toxiques. Résister à l'envie de restreindre sévèrement après les fêtes est crucial. Revenir à votre routine habituelle — pas à une version punie — est ce qui soutient vraiment votre rétablissement.
2. Débriefing bienveillant
Prenez un moment pour noter ce qui s'est bien passé. Oui, vous lisez bien : ce qui s'est bien passé. Quels moments avez-vous appréciés ? Quelles stratégies ont fonctionné ? Où avez-vous été plus fort·e que vous ne le pensiez ?
Cette pratique de reconnaissance n'efface pas les difficultés, mais elle rééquilibre le récit que vous vous racontez.
3. Reprendre contact avec votre équipe
Votre diététicien·ne, votre thérapeute, votre psychiatre — ils·elles sont là pour vous aider à traiter ce qui s'est passé, sans jugement. Ce n'est pas un "rapport de faute", c'est un espace de réflexion et d'ajustement.
📚 Pour les Proches : Comment Soutenir Sans Blesser
Ce Qu'il Faut Comprendre
Votre fils, votre fille, votre conjoint·e, votre ami·e souffre d'une maladie psychiatrique grave, pas d'un caprice ou d'un manque de volonté. Les TCA ont le taux de mortalité le plus élevé de toutes les maladies mentales. Votre soutien peut littéralement sauver une vie — à condition qu'il soit bien orienté.
Les Erreurs À Éviter
❌ Commenter l'apparence ou les quantités :
"Tu as l'air mieux / plus en forme !" → Éviter totalement.
"C'est tout ce que tu manges ?" → Ne jamais dire.
❌ Forcer à manger :
La pression aggrave l'anxiété. Vous ne pouvez pas "nourrir" quelqu'un vers la guérison.
❌ Parler de régimes, de calories, de "bons" et "mauvais" aliments :
Ces conversations sont des déclencheurs majeurs.
❌ Minimiser ou comparer :
"Moi aussi je fais attention", "Tu n'es pas si maigre/gros·se" — ces phrases invalident la souffrance.
Ce Qui Aide Vraiment
✅ Normaliser le non-commentaire :
Faites comme si l'alimentation était un non-sujet. Parlez de films, de livres, de projets, de souvenirs.
✅ Offrir des activités non-centrées sur la nourriture :
Proposez une balade, un jeu, regarder des photos ensemble — créez des moments de connexion qui ne passent pas par la table.
✅ Respecter les besoins d'espace :
Si la personne doit s'isoler, laissez-la faire sans culpabiliser.
✅ Affirmer votre soutien inconditionnel :
"Je suis là pour toi, peu importe ce qui se passe" — ces mots comptent énormément.
✅ Vous informer :
Lisez sur les TCA, écoutez des témoignages, comprenez les mécanismes. Votre connaissance réduit les malentendus et la frustration de part et d'autre.
🌅 Message d'Espoir : Les Fêtes Peuvent Redevenir Douces
Je ne vais pas vous mentir en prétendant que les fêtes vont soudainement devenir faciles. Ce serait irresponsable et faux. Mais je peux vous dire ceci avec certitude : elles peuvent devenir plus supportables, puis progressivement apaisées, puis peut-être même, un jour, agréables.
J'ai vu des patient·e·s qui tremblaient à l'idée du réveillon de Noël, arriver trois ans plus tard à partager un repas de fête avec leur famille en ressentant de la joie — pas de la terreur. Ce chemin existe. Il est sinueux, parsemé de rechutes et d'efforts répétés, mais il existe.
Chaque fête que vous traversez, même difficilement, est un entraînement. Votre cerveau apprend, petit à petit, que vous pouvez survivre à ces situations. Que l'anxiété, aussi intense soit-elle, finit par redescendre. Que vous êtes plus fort·e que votre trouble ne veut vous le faire croire.
Les fêtes ne seront peut-être jamais votre période préférée de l'année — et c'est OK. Mais elles peuvent cesser d'être un cauchemar. Et cela, en soi, est une victoire immense.
Conclusion
Vivre avec un trouble du comportement alimentaire pendant les fêtes et les vacances, c'est affronter une tempête émotionnelle, sociale et biologique. Mais cette tempête n'est pas de votre faute, et vous n'avez pas à la traverser seul·e.
L'accompagnement diététique spécialisé dans les TCA ne consiste pas à vous forcer à manger ou à suivre un plan rigide. Il s'agit de comprendre vos déclencheurs spécifiques, de construire vos stratégies personnalisées, et de vous offrir un espace où votre souffrance est reconnue sans jugement.
Dans mon cabinet parisien (6e, 20e arrondissements et Le Raincy), j'accompagne des personnes de tous horizons — étudiant·e·s internationaux, expatrié·e·s, Parisien·ne·s de longue date — à travers ces périodes délicates. Mon approche est non-restrictive, bienveillante, et ancrée dans la science la plus récente sur les TCA.
Si vous vous reconnaissez dans ces lignes, si les fêtes approchent et que l'anxiété monte, sachez que vous méritez d'être soutenu·e. Vous méritez de traverser ces périodes avec plus de sérénité. Vous méritez de guérir.
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Alexis Alliel
Diététicien Nutritionniste Spécialisé TCA
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📚 Ressources Complémentaires
Sur ce site :
Organismes de soutien :
FFAB (Fédération Française Anorexie Boulimie) : Ligne d'écoute et ressources
SOS Anor : Association de soutien et d'information
StopTCA : Plateforme spécialisée accompagnement TCA
Anorexie-et-boulimie.fr : Informations et témoignages
Ligne d'écoute TCA :
📞 0810 037 037 (Numéro non surtaxé)
🔬 Sources et Références
1. Fédération Française Anorexie Boulimie (FFAB)
Statistiques sur l'intensification des symptômes pendant les périodes festives (70% des patients)
Ligne d'écoute TCA et ressources d'accompagnement
2. Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm)
Recherches sur les ruptures de routine et risque de rechute (augmentation 40-60%)
Études sur les mécanismes neurobiologiques des TCA
"Anorexie mentale : Un trouble essentiellement féminin" (2024)
3. Haute Autorité de Santé (HAS)
Recommandations de bonnes pratiques : Anorexie mentale (2010)
Prévalence des TCA en France (près d'un million de personnes)
4. Psycom - Santé Mentale Info
Classification DSM-5 et CIM-10 des troubles alimentaires
Approche pluridisciplinaire recommandée
"Troubles des conduites alimentaires (TCA)" (Mise à jour 2024)
5. Alliance for Eating Disorders Awareness
Étude sur les ruptures de routine comme déclencheur (58% des cas)
Guide de navigation pendant les fêtes pour patients en rétablissement
6. King's College London - Dr Janet Treasure
Recherches sur restriction pré-festive et comportements compensatoires (70% d'augmentation du risque)
Travaux sur l'anxiété anticipatoire et cortisol
7. StopTCA (Plateforme française spécialisée)
Enquête 2025 sur évitement des situations d'exposition corporelle (76% des patients)
Témoignages et ressources pratiques périodes difficiles
8. UCLA Health - Dr Michael A. Strober
Étude sur anxiété pendant repas festifs (83% des patients TCA)
Approche thérapeutique "early life anxiety" et TCA
"For someone with an eating disorder, a holiday party can be more traumatic than festive" (2023)
9. National Association of Anorexia Nervosa and Associated Disorders (ANAD)
Stratégies pratiques de coping pendant les fêtes
Importance du maintien du suivi thérapeutique
10. Open Mental Health - SWEDA
Interviews Nerissa Shaw et Mel Nelson (cliniciens spécialisés TCA)
Analyse des défis spécifiques Christmas et périodes festives
"The Challenges of Eating Disorders at Christmas" (2024)


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